Incheon
Introduction :
Incheon, autrefois appelée Jemulpo, est une ville portuaire située dans le nord-ouest de la Corée du Sud, à 35 km de Séoul, sa capitale[1]. Sa population est en constante augmentation, et en 2020, elle atteint environ les 2,8 millions d’habitants, ce qui lui confère depuis de nombreuses années le statut de la troisième ville la plus peuplée du pays[2]. C’est à partir de 1876, qu’elle développe ses activités portuaires en devenant le troisième port ouvert du commerce international de la péninsule coréenne[3]. Elle possède également de nombreuses autres particularités la rendant atypique, mais quelles sont-elles ? Ainsi, dans ce qui suit nous allons présenter trois aspects importants de cette ville : les aspects économique, écologique et sanitaire.
Une ville au cœur du plus grand projet de développement urbain privé au monde
Depuis les années 1990, la Corée du Sud a investi des sommes considérables dans une de ses villes : Incheon. En effet, celle-ci est au centre du plus grand projet de développement urbain privé au monde, consistant à la création en son lieu d’un aéroport international, d’une part, et à la stratégie d’y établir en son sein une zone économique franche, appelée « zone économique franche d’Incheon » ou « Incheon Free Economic Zone » (IFEZ) en anglais, d’autre part[4].
L’aéroport international d’Incheon fut inauguré en 2001 ; il fut construit dans le but de pallier l’accroissement du trafic aérien de la Corée du Sud, survenu à la suite des Jeux olympiques de Séoul en 1988, que l’aéroport international de Gimpo de l’époque ne pouvait plus gérer[5].
Parmi les aéroports internationaux de Corée du Sud, l’aéroport d’Incheon est le plus important en terme de taille, et fut classé en 2009 comme le quatrième plus grand lieu de stockage de marchandises au monde, ainsi que le trente-neuvième plus grand lieu d’accueil des passagers. Il traite ainsi plus de 97% du transport aérien de marchandises de la Corée du Sud[6].
Un deuxième terminal fut mis en place en janvier 2018 suite à la forte augmentation du nombre de passagers reposant sur un budget total de 4,9 milliards de wons (soit 3,8 milliards d’euros)[7]. Depuis lors, il accueille en moyenne 72 millions de voyageurs par an, et il est estimé que d’ici 2023 il accueillerait 95 millions de voyageurs.
De plus, d’après un article de l’agence de presse Yonhap, l’aéroport d’Incheon a le projet d’investir 4,2 milliards de wons (soit 3,2 milliards d’euros) d’ici 2023 dans la construction d’une quatrième piste (aérodrome) et dans l’agrandissement du deuxième terminal ainsi que de certaines de ses infrastructures déjà présentes[8].
L’aéroport d’Incheon est l’aéroport accueillant le plus de voyageurs en Asie du nord-est, et a l’ambition de devenir la première plateforme aéroportuaire mondiale, c’est-à-dire l’aéroport le plus fréquenté au monde[9].
Figure 1 : Aéroport international d’Incheon (Chungcheongmesiji 충청메시지, 25 octobre 2017, en ligne).
Incheon fut désignée en 2003 comme la ville au cœur de la stratégie visant non seulement à placer la Corée du Sud au centre de l’économie de l’Asie du nord-est, mais aussi à faire de l’Asie du nord-est le centre de l’économie mondiale[10]. C’est la première zone économique franche (FEZ) du pays et de loin la plus grande.
L’IFEZ a été créée dans le but de hautement renforcer l’économie de la Corée du Sud pour que cette dernière puisse tirer avantage de l’évolution de la croissance économique mondiale et ne pas devenir vulnérable face aux deux puissances économiques entre lesquelles elle est située géographiquement qui sont la Chine et le Japon[11].
En effet, une FEZ est une classe de zone économique spéciale (ZES) choisie afin d’attirer davantage d’investissements des pays étrangers dans l’industrie et l’économie leur garantissant de nombreux avantages fiscaux[12]. L’IFEZ quant à elle est située au bord de mer qui est un emplacement stratégique rendant l’accès aux marchés chinois et japonais plus facile[13].
Trois districts à l’ouest d’Incheon et près de la mer composent l’IFEZ : Songdo, Cheongna et Yeongjong, incluant également l’aéroport international, à Yeongjong, et le port, à Songdo. Ces trois districts ont été transformés respectivement en pôles de logistique, de commerce international, ainsi que de loisirs et de tourisme ; Incheon est petit à petit en train de devenir le carrefour des affaires mondiales[14].
La mise en place de l’IFEZ fut programmée en trois étapes réparties sur plus d’une quinzaine d’années. De 2003 à 2009, il était question de rénover et de construire des infrastructures ; de 2010 à 2014, il était prévu de poursuivre le plan de développement de l’IFEZ de manière plus rapide en promouvant les investissements étrangers et les affaires, ainsi qu’en construisant un environnement résidentiel pour les étrangers ; et enfin de 2015 à 2020, le plan de développement devait toucher à sa fin[15]. Cependant, celui-ci est actuellement toujours en cours, et bien qu’il devrait être achevé en 2022, l’autorité de l’IFEZ envisage de le prolonger encore de quelques années.
L’IFEZ a attiré 11,83 milliards de dollars (soit 10,07 milliards d’euros) d’investissements directs étrangers (ou « Foreign Direct Investment » (FDI) en anglais), de 2003 à 2018, c’est-à-dire que parmi les huit FEZ de la Corée du Sud, Incheon est celle ayant attiré un FDI représentant 67% du FDI total du pays[16].
Figure 2 : Occupation des terres dans les districts de l’IFEZ et principaux projets (DUCRUET, et al., 2012, page 12).
Bien que le développement urbain de la ville d’Incheon soit un énorme avantage pour l’économie du pays, nous pouvons nous demander quelles en sont ses conséquences sur l’environnement.
Une ville de conflits écologiques
La pollution en Corée du Sud est un problème important : les Particule Matter (PM), particules en suspension qui proviennent d’activités polluantes, sont particulièrement dangereuses pour la santé puisqu’elles peuvent pénétrer dans les poumons et sont la source de plusieurs maladies.
Les taux de PM sont particulièrement élevés dans la région du Gyeonggi-do qui encercle Séoul et qui inclut Incheon, si bien qu’une étude de 2011 publiée dans le Korean Journal of Pediatrics montre que les niveaux de particules PM2,5 et PM10 étaient plus hauts à Incheon qu’à Jeju, l’île au sud-est de la péninsule coréenne, et qu’en conséquence beaucoup plus d’enfants vivant à Incheon avaient développé des problèmes respiratoires tels que l’asthme[17].
En 2019, deux pics de pollution majeure ont même dépassé les stades « mauvais pour la santé » et « très mauvais pour la santé » : une moyenne de 150 PM2,5 entre le 12 et le 16 janvier 2019, et de 172 PM2,5 entre le 2 et le 6 mars 2019 à Incheon[18] – mais ces pics ont touché toute la Corée. La qualité de l’air était si mauvaise que les Sud-Coréens ont pu recevoir sur leurs téléphones un jaenanmunja 재난문자, c’est-à-dire un message signalant une catastrophe.
Même si la pollution de Chine est grandement accusée d’être l’origine de la poussière jaune amenée en Corée par les vents, le gouvernement sud-coréen s’engage en 2009 sous la présidence de Lee Myung-Bak à créer un projet de « croissance écologique » dont le but est de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de carbone pour réduire ses propres « activités polluantes »[19]. Le projet est national, mais certaines villes prennent leurs propres mesures.
A cet égard, deux grands plans sont annoncés par la ville d’Incheon en 2009 : la construction de la centrale marémotrice de Ganghwa, et le développement de Songdo International City, qui devrait accueillir des parcs et autres espaces verts, des bâtiments écoénergétiques, etc. A cela s’ajoute un projet du gouvernement national de construire une seconde centrale marémotrice dans la baie d’Incheon et qui serait 1,4 fois plus grande que celle que Ganghwa[20].
Mais un problème majeur s’annonce : les plans de ces centrales nécessitent la destruction de certains marécages protégés qui accueillent notamment des milliers d’oiseaux migrateurs.
La ville d’Incheon et le gouvernement sud-coréen justifient leur choix en soutenant que retirer la protection de ces marécages est dans l’intérêt global puisqu’une centrale marémotrice permettrait de réduire grandement les émissions et d’utiliser une ressource énergétique non polluante. Néanmoins, l’approche sud-coréenne s’est tellement concentrée sur la réduction des émissions qu’ils mettent volontairement de côté l’aspect social : A qui est-ce que cela profite, et est-ce que ce type d’écologie sera durable dans le temps ?
Figure 3 : Avantages et inconvénients des centrales marémotrices à Incheon (KO, et al., 2011, page 7).
Les organisations environnementales et les pêcheurs ont exprimé leur mécontentement face à la construction des deux centrales à Incheon car elles pourraient notamment détruire l’écosystème, le paysage, et mettre en danger les métiers en rapport avec la pêche[21]. Cependant, le Ministère chargé du projet de la centrale dans la baie d’Incheon a rétorqué que nullifier le statut protégé de certains marécages serait justifié si l’intérêt public était en jeu, c’est-à-dire si le projet se révélait être efficace dans la réduction des émissions[22].
Les plans de Songdo International City ont connu des conflits similaires puisqu’ils empiétaient sur une zone qui abrite 11 espèces d’oiseaux migrateurs[23].
Favoriser le développement « vert » pour produire des résultats immédiats et continuer de préserver des habitats naturels protégés sont deux approches écologiques différentes qui continuent d’être une source de conflit dans le monde entier : dans le cas de Lee Myung-Bak, sa politique s’est terminée en échec. Néanmoins le président actuel Moon Jae-In s’inspire du projet et en promet une version améliorée en 2020[24].
La balance entre les enjeux industriels et écologiques d’Incheon ne sont pas sans effet sur la santé, aussi est-il important de se pencher sur les protections sociales et sanitaires qu’offre la ville.
Une ville portée sur la santé et la protection sociale
La Corée du Sud possède un mode de protection sociale mixte qui comprend l’État mais aussi des acteurs privés comme les entreprises par exemple. Cette protection sociale est destinée à tous les citoyens qui font face à des difficultés financières et peut être divisée en quatre grandes catégories. Des aides sont disponibles dans les domaines de l’éducation, le médical, le logement mais aussi pour les citoyens Coréens qui sont endettés.
Il est possible pour les étrangers de bénéficier de ces aides sous certaines conditions, notamment sous celle d’être marié ou d’avoir été marié à une personne de nationalité et d’ascendance coréenne.
La Corée du Sud possède aussi un système de retraite ainsi qu’un support d’assistance sociale d’urgence.
En ce qui concerne Incheon, étant une ville plutôt riche et bien développée, elle fait profiter à ses habitants d’un système de santé et de protection sociale bien formé. La métropole possède aussi des aides qui sont exclusivement réservées à ses habitants. Par exemple, il existe des centres d’aide pour les étrangers et les familles multiculturelles. Ces centres offrent non seulement des consultations qui visent à guider les étrangers, mais aussi des cours de coréen.
De plus, pour les couples récemment mariés et les femmes enceintes, il est possible de profiter de la gratuité de certains tests et dépistages, ce qui soulage de nombreux ménages des frais médicaux. Pour cela, il suffit de fournir quelques documents comme la copie de l’enregistrement en tant qu’habitant d’Incheon, une carte d’identité et selon les cas le contrat de la salle de mariage ou le carnet de grossesse[25].
Au total, Incheon possède dix-neuf hôpitaux ; certaines de ces institutions sont accréditées pour s’occuper des patients étrangers. Ces hôpitaux fournissent aussi une aide supplémentaire à ces derniers (ouvriers, réfugiés ou conjoints d’un citoyen coréen) mais aussi aux sans-abris. Des Centres de Santé Communautaire dispensent aussi des soins à moindre coûts.
Récemment, en raison de la pandémie de COVID-19, la ville d’Incheon a mis en place un service d’aide spécial concernant la santé mentale. Ce service d’aide concerne les habitants ayant été testés positifs à la COVID-19 et leur famille. Ceux-ci peuvent entrer en contact avec des psychologues ou encore des professionnels qui leur fourniront des informations à propos du virus.
Conclusion :
Ainsi, les trois aspects d’Incheon qui ont été présentés participent au développement de la ville la rendant avantageuse à plusieurs niveaux. Les enjeux sont nombreux : dans un contexte d’industrialisation rapide et de pics de pollution problématiques, il est important que la ville puisse équilibrer cela en développant des projets écologiques et des alternatives sanitaires pour la population.
BENLAKHLEF Séléna – CALFATI Noémie – GALLI-RAGUENEAU Laurie.
Références :
[1] TROLLIET, Pierre, « INCHON », Encyclopædia Universalis [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y6hepzog
[2] ANONYME, « Incheon, South Korea Metro Area Population 1950-2020 » (Population de la région métropolitaine de Corée du Sud, Incheon de 1950 à 2020), macrotrends [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5zkqg3x
[3] TROLLIET, Pierre, « INCHON », Encyclopædia Universalis [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y6hepzog
[4] DUCRUET, César, et al., « The flight of Icarus? Incheon’s transformation from port gateway to global city » (Le vol d’Icare ? Transformation d’Incheon de la porte d’entrée du port à la ville mondiale), in Cities, Regions and Flows (Villes, régions et flux). Londres : Routledge, 2012, pp. 149-169, page 3.
[5] CHONG Ina, « Incheon, hub asiatique de première classe », The Good Life [En ligne], mis en ligne le 21 mars 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5t4r4yz
[6] DUCRUET, César, et al., « The flight of Icarus? Incheon’s transformation from port gateway to global city » (Le vol d’Icare ? Transformation d’Incheon de la porte d’entrée du port à la ville mondiale), in Cities, Regions and Flows (Villes, régions et flux). Londres : Routledge, 2012, pp. 149-169, page 16.
[7] CHONG Ina, « Incheon, hub asiatique de première classe », The Good Life [En ligne], mis en ligne le 21 mars 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5t4r4yz ; Pierre, « L’aéroport d’Incheon, une seconde aile pour conquérir l’Asie », LEPETITJOURNAL.COM [En ligne], mis en ligne le 22 janvier 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/yymf97w2
[8] ANONYME, « L’aéroport international d’Incheon investira 4.200 Mds dans les infrastructures d’ici 2023 », AGENCE DE PRESSE YONHAP [En ligne], mis en ligne le 20 décembre 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5rdxjpv
[9] CHONG Ina, « Incheon, hub asiatique de première classe », The Good Life [En ligne], mis en ligne le 21 mars 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5t4r4yz ; Pierre, « L’aéroport d’Incheon, une seconde aile pour conquérir l’Asie », LEPETITJOURNAL.COM [En ligne], mis en ligne le 22 janvier 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/yymf97w2
[10] KIM Chungjin, « A STUDY ON THE DEVELOPMENT PLAN OF INCHEON FREE ECONOMIC ZONE, KOREA: BASED ON A COMPARISON TO A FREE ECONOMIC ZONE IN PUDONG, CHINA » (UNE ÉTUDE SUR LE PLAN DE DÉVELOPPEMENT DE LA ZONE ÉCONOMIQUE FRANCHE D’INCHEON, CORÉE : BASÉE SUR UNE COMPARAISON AVEC UNE ZONE ÉCONOMIQUE FRANCHE À PUDONG, CHINE), Mémoire de Master de la planification communautaire et régionale, projet approuvé et accepté par Michael Hibbard, Oregon, Université de l’Oregon, 2007, p.63, page 12. Date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y28oxxxm ; DUCRUET, César, et al., « The flight of Icarus? Incheon’s transformation from port gateway to global city » (Le vol d’Icare ? Transformation d’Incheon de la porte d’entrée du port à la ville mondiale), in Cities, Regions and Flows (Villes, régions et flux). Londres : Routledge, 2012, pp. 149-169, page 11.
[11] KIM Chungjin, « A STUDY ON THE DEVELOPMENT PLAN OF INCHEON FREE ECONOMIC ZONE, KOREA: BASED ON A COMPARISON TO A FREE ECONOMIC ZONE IN PUDONG, CHINA » (UNE ÉTUDE SUR LE PLAN DE DÉVELOPPEMENT DE LA ZONE ÉCONOMIQUE FRANCHE D’INCHEON, CORÉE : BASÉE SUR UNE COMPARAISON AVEC UNE ZONE ÉCONOMIQUE FRANCHE À PUDONG, CHINE), Mémoire de Master de la planification communautaire et régionale, projet approuvé et accepté par Michael Hibbard, Oregon, Université de l’Oregon, 2007, p.63, page 12. Date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y28oxxxm ; BAEK Byung-yeul, « Incheon FEZ becomes global business hub » (Incheon FEZ devient un centre d’affaires mondial), The Korea Times [En ligne], mis en ligne le 28 novembre 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y55hfoyl
[12] ANONYME, « Concept of IFEZ » (Concept d’IFEZ), ifez Incheon Free Economic Zone [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5cc3ku6
[13] PENNINGTON, Audrey, « Birth of a Business Hub » (naissance d’un carrefour des affaires), SITE Selection [En ligne], mis en ligne en mars 2007, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/yyo882xd
[14] BAEK Byung-yeul, « Incheon FEZ becomes global business hub » (Incheon FEZ devient un centre d’affaires mondial), The Korea Times [En ligne], mis en ligne le 28 novembre 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y55hfoyl ; ANONYME, « Concept of IFEZ » (Concept d’IFEZ), ifez Incheon Free Economic Zone [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5cc3ku6
[15] ANONYME, « Development Plans for Each Step » (Plans de développement pour chaque étape), ifez Incheon Free Economic Zone [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y5rxuzlj
[16] BAEK Byung-yeul, « Incheon FEZ becomes global business hub » (Incheon FEZ devient un centre d’affaires mondial), The Korea Times [En ligne], mis en ligne le 28 novembre 2018, consulté le 14 novembre 2020. URL : https://tinyurl.com/y55hfoyl
[17] JEONG Su Ho, et al., « Comparison of air pollution and the prevalence of allergy-related diseases in Incheon and Jeju City » (Comparaison de la pollution atmosphérique et de la prévalence des maladies allergiques à Incheon et à Jeju), Korean Journal of Pediatrics, vol. 54, n°12, décembre 2011, pp. 501-506.
[18] ANONYME, « Songdo, Incheon Air Pollution: Real-time Air Quality Index (AQI) » (Pollution de l’air à Songdo, Incheon : Indice de la qualité de l’air (IQA) en temps réel), aqicn.org [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 11 décembre 2020. URL : https://aqicn.org/city/korea/incheon/songdo/
[19] KO Yekang, SCHUBERT, Derek, HESTER, Randolph, « A Conflict of Greens: Green Development versus Habitat Preservation – The Case of Incheon, South Korea » (Un conflit de verts : développement vert versus préservation de l’habitat – Le cas d’Incheon, Corée du Sud), Environment: Science and Policy for Sustainable Development, vol. 53, n°3, 2011, pp. 3-17, page 3.
[20] Ibid., page 4.
[21] Ibid., page 7.
[22] Ibid., page 8.
[23] Ibid., page 5.
[24] BAE Hyunjung, « How Green and New is Moon’s deal? » (Dans quelle mesure l’offre de Moon est-elle verte et nouvelle ?), The Korea Herald [En ligne], mis en ligne le 9 août 2020, consulté le 11 décembre 2020. URL : http://www.koreaherald.com/view.php?ud=20200809000207
[25] INCHEON METROPOLITAN CITY, « Pregnancy » (Grossesse), Incheon Metropolitan City [En ligne], date de mise en ligne inconnue, consulté le 6 novembre 2020. URL : https://www.incheon.go.kr/en/EN050219